Blackwater II, La Digue – L’épique saga de la famille Caskey

Tandis que la ville se remet à peine d’une crue dévastatrice, le chantier d’une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d’œuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.

Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d’Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.

Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.

Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l’amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ­co-créateur des mythiques Beetlejuice et L’Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d’une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ­addictive qu’une série Netflix, baignée d’une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.

Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d’horreur.

Née en 1983 à Paris d’un père franco-vietnamien et d’une mère dominicaine, Yoko Lacour passe son enfance en Angleterre. Elle découvre le plaisir de la lecture avec les nouvelles de science-fiction des revues Galaxie et Fiction que collectionne son père, ainsi que les nouvelles horrifiques de la série “Hitchcock présente”, qui expliquent très probablement son goût pour la littérature de genre aujourd’hui. Après un diplôme en littérature anglaise, littérature comparée et didactique des langues, elle commence par enseigner le français dans un établissement à Nottingham avant de se consacrer à la traduction. En 2018, elle plonge dans Blackwater, qui aura nécessité un travail minutieux de traduction, de relectures chevronnées et de subtiles retouches pour rendre hommage à un texte à la complexité savamment dissimulée.

Les familles fascinent Michael McDowell et sont au centre de Blackwater. Il les trouve violentes, oppressives et manipulatrices, mais c’est ça qui, à ses yeux, les rend si intéressantes. Pour lui, elles sont par essence des systèmes verticaux, et impliquent forcément des situations de domination et de manipulation. Mary-Love Caskey, la matriarche à la tête du clan, incarne parfaitement cette idée de positions figées au sein d’un organigramme dont les contours semblent avoir été dessinés il y a longtemps. Le ressentiment peut se faire sentir, la colère même commencer à poindre, pourtant personne ne songe à défier sa souveraineté. Mary-Love contrôle de façon incontestable les actes et les émotions de sa fille, elle administre tout ce qui a trait à l’argent, et surtout, c’est elle qui, tel Charon, détermine qui peut entrer dans la famille, et à l’inverse, qui doit en être exclu. Néanmoins, l’arrivée d’Elinor Dammert est sur le point de remettre en question tout ceci.

En écho à la Death Collection réunie au fil du temps par Michael McDowell (il a amassé des centaines d’artefacts mortuaires, allant des faire-parts jusqu’à un cercueil), nous avons décidé de créer une série de 30 cartes mortelles différentes, chacune représentant l’une des nombreuses et terribles morts qui sont narrées dans les livres de la Bibliothèque McDowell.

Chacune de ces cartes a été finement dessinée par Pedro Oyarbide, attentivement imprimée par Print System sur un authentique papier de carte à jouer (puis pelliculée) et patiemment glissée dans un trop mignon petit sachet scellé.

Un sachet comprenant une carte vous sera offert dans la limite des stocks disponibles pour tout achat d’un exemplaire du diabolique L’Amulette OU du terrifiant Lune froide sur Babylon OU de l’effroyable Katie OU du fascinant Les Aiguilles d’or OU encore de 2 volumes de la saga Blackwater.

Pour des raisons d’impression des cartes et de confection des sachets, les envois des commandes ne pourront se faire qu’à compter du 10 octobre. Si votre commande est urgente, merci de nous contacter.