L’édition dite «:Créature:» de Moi, ce que j’aime, c’est les monstres, Livre deuxième n’a été imprimée qu’à 4:444 exemplaires. Chacun d’eux a été patiemment numéroté à la main, le rendant unique.
Pour ce tirage si spécial, nous avons choisi de l’Arctic Volume White de 130:g (l’édition courante est imprimée sur de l’offset 120 g) qui allie les qualités d’impression parfaite du papier couché et le touché velouté de l’offset. Pour donner une autre dimension à ce livre, nous avons opté comme pour la précédente édition pour une reliure cartonnée:: son cartonnage solide (3 mm) est recouvert de toile tissée avec une base papier sans chlore.
La jaquette en papier couché et pelliculage brillant est cette fois plus épaisse (Maxi Gloss 200 g contre 170 g). Le dessin, inspiré de la peinture Dante et Virgile de William Bouguereau, à laquelle Emil Ferris est très attachée, a été spécialement crée pour cette édition.
Les cahiers sont cousus par 16 pages pour faciliter l’ouverture et la lecture. Le livre est équipé d’un signet et d’une tranchefile, et ses tranches ont été peintes. La toile Wicotex Brillianta Beige est ornée de sérigraphies inédites.
Un livret contenant la nouvelle inédite en français – «:Moi, ce que j’aime, c’est les monstres par Karen Reyes:» – qu’Emil Ferris a écrite en 2001 et à l’origine de Moi, ce que j’aime, c’est les monstres a été glissée dans le volume.
Moi, ce que j’aime, c’est les monstres – Livre deuxième, édition “Créature”. Écrit et dessiné par Emil Ferris. Traduit par Jean-Charles Khalifa. Publié par Monsieur Toussaint Louverture. 416 pages couleurs. 204 x 267 mm. Prix 70,00 euros. Date de publication: 17 octobre 2025.


Watership Down (bande dessinée)
























Dans ce deuxième tome, l’artiste-autrice explore avec Karen le début de l’âge adulte et la puberté
En 2002, Emil Ferris (née en 1962 à Chicago), mère célibataire et illustratrice , gagne sa vie en dessinant des jouets et en participant à la production de films d’animation. Lors de la fête de son quarantième anniversaire avec des amis, elle se fait piquer par un moustique et ne reprendra ses esprits que trois semaines plus tard, à l’hôpital. On lui a diagnostiqué une méningo-encéphalite : elle est frappée par une forme grave du syndrome du nil occidental. Les médecins lui annoncent qu’elle ne pourra sans doute plus jamais marcher. Pire encore, sa main droite, celle qui lui permet de dessiner, n’est plus capable de tenir un stylo.






