
Notre petite artiste doit désormais faire face à une vie nouvelle où tout tremble et vacille, et dans laquelle même les quelques certitudes qu’elle avait semblent sur le point de voler en éclats. Mais Karen est un être farouche – 1/3 loup-garou, 1/3 détective, 1/3 enflammée. Toute de curiosité, d’imagination et de compassion, elle veut désormais bannir de son existence les tabous et les mensonges censés la protéger mais qui ont fini par empoisonner ses rêves.
Heureusement que son frère Deeze, artiste contrarié au passé trouble, est encore là pour la protéger des menaces invisibles qui pèsent sur elle, et ce, quoi qu’il en coûte, même s’il est obligé de franchir la ligne rouge et faire des choix moralement plus qu’inacceptables. Mais pour combien de temps pourra-t-il encore la protéger ? Car il est sur le point d’être mobilisé et envoyé au Vietnam.
















 
				













 Dans ce deuxième tome, l’artiste-autrice explore avec Karen le début de l’âge adulte et la puberté
Dans ce deuxième tome, l’artiste-autrice explore avec Karen le début de l’âge adulte et la puberté En 2002, Emil Ferris (née en 1962 à Chicago), mère célibataire et  illustratrice , gagne sa vie en dessinant des jouets et en participant à la production de films d’animation. Lors de la fête de son quarantième anniversaire avec des amis, elle se fait piquer par un moustique et ne reprendra ses esprits que trois semaines plus tard, à l’hôpital. On lui  a diagnostiqué une méningo-encéphalite : elle est frappée par une forme grave du syndrome du nil occidental. Les médecins lui  annoncent qu’elle ne pourra sans doute plus jamais marcher. Pire encore, sa main droite, celle qui  lui  permet de dessiner, n’est plus capable de tenir un stylo.
En 2002, Emil Ferris (née en 1962 à Chicago), mère célibataire et  illustratrice , gagne sa vie en dessinant des jouets et en participant à la production de films d’animation. Lors de la fête de son quarantième anniversaire avec des amis, elle se fait piquer par un moustique et ne reprendra ses esprits que trois semaines plus tard, à l’hôpital. On lui  a diagnostiqué une méningo-encéphalite : elle est frappée par une forme grave du syndrome du nil occidental. Les médecins lui  annoncent qu’elle ne pourra sans doute plus jamais marcher. Pire encore, sa main droite, celle qui  lui  permet de dessiner, n’est plus capable de tenir un stylo.

 
				
 
				
 
				
 
				
 
				
 
				
 
				
