Si on ne choisit jamais d’entrer dans la Maison, très vite, on ne veut plus en sortir. Ici, les règles de l’Extérieur ne s’appliquent pas. Les couloirs murmurent et les pièces changent.
Aux côtés de Sphinx le mystérieux, du beau Lord et de l’incontrôlable Tabaqui, plongez dans les méandres d’un refuge pour enfants tout sauf ordinaires : une Maison dans laquelle tout ce qui leur passe par la tête devient réel. Essayez avec eux d’en percer les secrets. La Maison est-elle vivante ? Existe-t-il une forêt cachée dans ses fondations ? Et qui sont les “tombants” ?
Accompagnez nos inoubliables héros dans leur exploration de ce monde insoupçonné et foisonnant, où la mort rôde en permanence, et découvrez le premier tome d’une trilogie hors du commun qui ne vous quittera plus.
La Maison dans laquelle 1, de Mariam Petrosyan. Traduction du russe par Raphaëlle Pache. Illustration de couverture d’Evangeline Gallagher. Reliure cartonnée. 288 pages. 14 x 21 cm. Titre original:: Дом, в котором… Курильщик. Date de publication : 27 juin 2025.
Attention : l’autocollant sur la première de couverture ne se retire pas, seul celui sur la quatrième de couverture, comme indiqué, peut être retiré sans abimer le livre.


Lot de neuf marque-pages Anne Shirley













Mariam Petrosyan est née en 1969 en Arménie. Après des études d’art, elle travaille vingt ans dans l’animation. En parallèle, elle dessine les personnages qui deviendront rapidement les héros de La Maison dans laquelle dont elle commence à écrire (en russe) certaines parties. Elle y travaillera une dizaine d’années, réécrivant le livre plusieurs fois, sans pour autant avoir l’intention de le publier. Vers la fin des années 1990, elle laisse le manuscrit à des amis.
En 2009, lors de sa toute première publication en langue originale, La Maison dans laquelle est sortie simultanément sous deux formes : un unique volume rassemblant l’ensemble du texte, et trois livres distincts, correspondant aux grandes parties du roman – comme trois ailes d’un même édifice.
« Rarement, la brûlure de l’adolescence aura été relatée avec un tel sens du merveilleux et de l’effroi. On sort de ce vertigineux périple comme les héros quittent l’enfance










