DE MEGAN WHALEN TURNER

L’histoire D’UN JEUNE HOMME,
DE TROIS ROYAUMES, ET DES REINES
qui façonnent leurs DESTINÉES

SAGA | AUTEUR | AVIS | EXTRAIT | LIVRES | QUESTIONS

de MEGAN WHALEN TURNER

L’histoire D’UN JEUNE HOMME,
DE TROIS ROYAUMES, ET DES REINES
qui façonnent leurs DESTINÉES

Imaginez une contrée aux accents méditerranéens, des champs d’oliviers, des montagnes rocailleuses et un soleil chaud et sec qui frappe les murs épais de cités antiques. Bordée au nord par de grandes puissances continentales et au-delà de la mer par le gargantuesque Empire mède, il existe une petite péninsule, habitée par des peuples aux noms à consonance grecque, mais qui possèdent des montres, des fusils et des chevaux immenses, qui parlent une langue commune, croient vaguement en des dieux plus ou moins communs, mais sont divisés en trois royaumes bien distincts : Sounis, Eddis et l’Attolie.

Eddis, niché dans la chaîne montagneuse d’Hephestial, est à la fois protégé et piégé, pris en étau par les deux autres. Heureusement, ce royaume que tout le monde pense arriéré à cause de ses croyances possède quelques avantages : une route commerciale essentielle à l’économie des royaumes et un atout humain inestimable.

Le roi de Sounis, quant à lui, a toujours eu soif de conquête, et surtout de conquérir la reine d’Eddis, car une alliance avec celle-ci lui ouvrirait une porte sur la domination de toute la péninsule.

La reine d’Attolie, froide et aussi calculatrice que dangereuse, pour sa part, s’intéresse le moins possible aux autres royaumes, car elle doit déjà lutter contre ses propres barons pour conserver son trône et son plein pouvoir, tout en composant avec les machinations du vaste Empire mède qui, comme le loup à la porte, a hâte de mettre un pied sur ses côtes.

C’est dans ce théâtre presque byzantin de machinations et de guerres ouvertes ou silencieuses qu’entre en scène Gen, jeune voleur sounisien capable de dérober n’importe quoi, du moins, c’est ce qu’il prétend ! Il a d’ailleurs réussi à s’approprier le Sceau du roi directement dans les appartements de Sounis. Malheureusement pour lui, ses fanfaronnades le conduisent en prison où il croupit jusqu’à ce que le plus puissant conseiller royal, le mage, lui propose un marché qu’il ne peut refuser : dérober une relique inestimable pour, peut-être, avoir une chance de recouvrer sa liberté.

Commence alors une incroyable saga où intrigues, légendes et coups d’éclat s’enchaînent dans une lecture, qui, tome après tome, devient épique et addictive jusqu’à sa conclusion finale.

Imaginez une contrée aux accents méditerranéens, des champs d’oliviers, des montagnes rocailleuses et un soleil chaud et sec qui frappe les murs épais de cités antiques. Bordée au nord par de grandes puissances continentales et au-delà de la mer par le gargantuesque Empire mède, il existe une petite péninsule, habitée par des peuples aux noms à consonance grecque, mais qui possèdent des montres, des fusils et des chevaux immenses, qui parlent une langue commune, croient vaguement en des dieux plus ou moins communs, mais sont divisés en trois royaumes bien distincts : Sounis, Eddis et l’Attolie.

Eddis, niché dans la chaîne montagneuse d’Hephestial, est à la fois protégé et piégé, pris en étau par les deux autres. Heureusement, ce royaume que tout le monde pense arriéré à cause de ses croyances possède quelques avantages : une route commerciale essentielle à l’économie des royaumes et un atout humain inestimable.

Le roi de Sounis, quant à lui, a toujours eu soif de conquête, et surtout de conquérir la reine d’Eddis, car une alliance avec celle-ci lui ouvrirait une porte sur la domination de toute la péninsule.

La reine d’Attolie, froide et aussi calculatrice que dangereuse, pour sa part, s’intéresse le moins possible aux autres royaumes, car elle doit déjà lutter contre ses propres barons pour conserver son trône et son plein pouvoir, tout en composant avec les machinations du vaste Empire mède qui, comme le loup à la porte, a hâte de mettre un pied sur ses côtes.

C’est dans ce théâtre presque byzantin de machinations et de guerres ouvertes ou silencieuses qu’entre en scène Gen, jeune voleur sounisien capable de dérober n’importe quoi, du moins, c’est ce qu’il prétend ! Il a d’ailleurs réussi à s’approprier le Sceau du roi directement dans les appartements de Sounis. Malheureusement pour lui, ses fanfaronnades le conduisent en prison où il croupit jusqu’à ce que le plus puissant conseiller royal, le mage, lui propose un marché qu’il ne peut refuser : dérober une relique inestimable pour, peut-être, avoir une chance de recouvrer sa liberté.

Commence alors une incroyable saga où intrigues, légendes et coups d’éclat s’enchaînent dans une lecture, qui, tome après tome, devient épique et addictive jusqu’à sa conclusion finale.

UNE SAGA FONDATRICE

S’éloignant des fondements traditionnels de la fantasy, Megan Whalen Turner a renouvelé le genre, adoptant à chaque tome un point de vue unique et accordant une place centrale à la stratégie, la diplomatie et aux alliances, aussi fragiles soient-elles.

Maîtrisant l’art du non-dit, elle manipule ses récits afin de toujours laisser le lecteur sur le qui-vive, sans qu’il sache à quoi s’attendre : ces six romans incitent à réévaluer constamment ce qu’on croit savoir sur les différents personnages ou leurs intentions.

Son approche rusée de la narration et de la psychologie a contribué à redéfinir les codes de la fantasy, lui conférant un statut d’autrice culte, dont l’héritage ne cesse d’être évoqué.

Dès Le Voleur, Megan Whalen Turner reçoit une reconnaissance critique rare : la Médaille Newbery Honor distingue son premier roman, tandis que Publishers Weekly salue « un héros inoubliable et une fin étincelante ». Les critiques américaines les plus respectées (Kirkus, The Horn Book, School Library Journal) le distinguent régulièrement. Chaque nouveau tome est attendu avec ferveur.

Ce rythme pondéré a permis à Megan Whalen Turner de construire une œuvre patiemment, avec une rigueur d’orfèvre, et de faire grandir ses personnages. Près de trente ans après sa parution initiale, la série continue d’être rééditée, étudiée, lue et relue.

Son travail a marqué toute une génération d’autrices, influençant des figures majeures de la fantasy contemporaine comme Leigh Bardugo (Six of Crows), Holly Black (Le Prince cruel), Laini Taylor (Fille de chimères), et Rebecca Ross (Divine rivalités).

LE VOLEUR DE LA REINE

1. Le Voleur • 2. La Reine d’Attolie • 3. Le Roi d’Attolie
4. Un Complot de rois • 5. Comme des voleurs
6. Le Retour du voleur

Traduction de l’anglais (États-Unis) par Yoko Lacour.
14 x 21 centimètres • Relié cartonné
16,50 euros jusqu’au 31/11
18,50 euros à partir du 01/12

UNE SAGA FONDATRICE

S’éloignant des fondements traditionnels de la fantasy, Megan Whalen Turner a renouvelé le genre, adoptant à chaque tome un point de vue unique et accordant une place centrale à la stratégie, la diplomatie et aux alliances, aussi fragiles soient-elles.

Maîtrisant l’art du non-dit, elle manipule ses récits afin de toujours laisser le lecteur sur le qui-vive, sans qu’il sache à quoi s’attendre : ces six romans incitent à réévaluer constamment ce qu’on croit savoir sur les différents personnages ou leurs intentions.

Son approche rusée de la narration et de la psychologie a contribué à redéfinir les codes de la fantasy, lui conférant un statut d’autrice culte, dont l’héritage ne cesse d’être évoqué.

Dès Le Voleur, Megan Whalen Turner reçoit une reconnaissance critique rare : la Médaille Newbery Honor distingue son premier roman, tandis que Publishers Weekly salue « un héros inoubliable et une fin étincelante ». Les critiques américaines les plus respectées (Kirkus, The Horn Book, School Library Journal) le distinguent régulièrement. Chaque nouveau tome est attendu avec ferveur.

Ce rythme pondéré a permis à Megan Whalen Turner de construire une œuvre patiemment, avec une rigueur d’orfèvre, et de faire grandir ses personnages. Près de trente ans après sa parution initiale, la série continue d’être rééditée, étudiée, lue et relue.

Son travail a marqué toute une génération d’autrices, influençant des figures majeures de la fantasy contemporaine comme Leigh Bardugo (Six of Crows), Holly Black (Le Prince cruel), Laini Taylor (Fille de chimères), et Rebecca Ross (Divine rivalités).

LE VOLEUR DE LA REINE

1. Le Voleur
2. La Reine d’Attolie
3. Le Roi d’Attolie
4. Un Complot de rois
5. Comme des voleurs
6. Le Retour du voleur

Traduction de l’anglais (États-Unis)
par Yoko Lacour.

14 x 21 centimètres • Relié cartonné
16,50 euros jusqu’au 31/11
18,50 euros à partir du 01/12

AVIS

« Megan Whalen Turner est l’une de mes autrices préférées de tous les temps. Ses livres sont impossibles à lâcher.» — Holly Black

« Les livres du Voleur de la Reine m’émerveillent et m’inspirent. On a l’impression d’y découvrir un pan secret et oublié de l’Histoire, dans des contrées réelles mais effacées. La construction de l’intrigue est inégalée, les révélations sont saisissantes, et les personnages – imparfaits, rusés, bouleversants, exceptionnels – restent gravés en mémoire. Les livres de Megan Whalen Turner occupent une place centrale sur l’étagère de mes romans préférés.» — Laini Taylor

« De la romance, des intrigues, du mystère, des rebondissements, et une écriture d’une beauté absolue.» — Cassandra Clare

« Des personnages inoubliables, des retournements de situation vertigineux, un monde dépeint avec une élégance rare – vous tomberez amoureux de chaque page. Megan Whalen Turner écrit une fantasy vibrante, immersive, poignante, qui vous donnera une seule envie : retourner encore et encore en Attolie.» — Leigh Bardugo

« Megan Whalen Turner a construit un univers ingénieux, plein de suspense, d’intrigues et de personnages inoubliables. Une fois que vous aurez plongé dans le monde du Voleur de la Reine, préparez-vous à ce qu’il vous dérobe votre vie jusqu’à ce que vous ayez lu tous les tomes.» — Joelle Charbonneau

« Megan Whalen Turner est l’une de mes autrices préférées de tous les temps. Ses livres sont impossibles à lâcher.» — Holly Black

« Les livres du Voleur de la Reine m’émerveillent et m’inspirent. On a l’impression d’y découvrir un pan secret et oublié de l’Histoire, dans des contrées réelles mais effacées. La construction de l’intrigue est inégalée, les révélations sont saisissantes, et les personnages – imparfaits, rusés, bouleversants, exceptionnels – restent gravés en mémoire. Les livres de Megan Whalen Turner occupent une place centrale sur l’étagère de mes romans préférés.» — Laini Taylor

« De la romance, des intrigues, du mystère, des rebondissements, et une écriture d’une beauté absolue.» — Cassandra Clare

« Des personnages inoubliables, des retournements de situation vertigineux, un monde dépeint avec une élégance rare – vous tomberez amoureux de chaque page. Megan Whalen Turner écrit une fantasy vibrante, immersive, poignante, qui vous donnera une seule envie : retourner encore et encore en Attolie.» — Leigh Bardugo

« Megan Whalen Turner a construit un univers ingénieux, plein de suspense, d’intrigues et de personnages inoubliables. Une fois que vous aurez plongé dans le monde du Voleur de la Reine, préparez-vous à ce qu’il vous dérobe votre vie jusqu’à ce que vous ayez lu tous les tomes.» — Joelle Charbonneau

MEGAN WHALEN TURNER

En 1995, Megan Whalen Turner a 30 ans. Diplômée de littérature anglaise, elle travaille comme libraire jeunesse lorsque sa carrière d’écrivaine décolle. L’autrice britannique Diana Wynne Jones (Le Château de Hurle, adapté par Miyazaki sous le titre Le Château ambulant), séduite par ses nouvelles, pousse son propre éditeur à la publier.

Un an plus tard, Megan Whalen Turner signe Le Voleur, un premier roman de fantasy centré sur un jeune voleur espiègle et manipulateur. Le livre reçoit la prestigieuse Médaille Newbery Honor – plus haute distinction américaine pour la littérature jeunesse – et devient un best-seller. À la surprise générale, l’autrice revient quelques années plus tard avec une suite, La Reine d’Attolie, qu’elle ne remet à son éditeur qu’une fois achevée. Ce deuxième tome, à la puissance narrative redoutable, bouleverse les attentes et laisse les lecteurs sous le choc.

Mais c’est véritablement en 2006, avec Le Roi d’Attolie, que Megan Whalen Turner dévoile l’ampleur de son projet : ces livres ne sont pas de simples suites, mais les volets d’une grande saga en six tomes, retraçant les conflits majeurs qui agitent les royaumes imaginaires de la Petite péninsule.

Suivrons Un complot de rois et Comme des voleurs, puis en 2020, elle conclut ce cycle entamé un quart de siècle plus tôt avec Le Retour du Voleur, salué par la critique et les lecteurs. Cette fresque aura marqué plusieurs générations – parmi lesquelles de nombreuses figures majeures de la fantasy contemporaine comme Leigh Bardugo, Holly Black, Laini Taylor ou Rebecca Ross.

Le Voleur de la Reine est une œuvre aux mille facettes, mêlant dialogues percutants, scènes intimes et souffle épique. Tissée d’aventures, d’intrigues de cour, de stratégies politiques et de mythes, elle est relevée d’un soupçon d’amours indomptables. Chaque tome adopte un point de vue différent – parfois peu fiable – invitant le lecteur à se laisser porter… ou à démêler le vrai du faux dans le récit tumultueux de royaumes au bord du chaos.

Autant nourrie par L’Histoire de la guerre du Péloponnèse de Thucydide ou L’Anabase de Xénophon que par les romans historiques de Rosemary Sutcliff, Megan Whalen Turner déploie, au fil de six volumes, une fresque fantasy d’une rare intelligence. On y suit un héros inattendu et des femmes de pouvoir – sortes de Catherine de Médicis ou d’Élisabeth Ier – dans un décor méridional, solaire et sauvage.

Elle a reçu un Newbery Honor et un Horn Book–Boston Globe Honor, et remporté le Los Angeles Times Book Award dans la catégorie littérature jeunesse ainsi que le Mythopoeic Award.

En 1995, Megan Whalen Turner a 30 ans. Diplômée de littérature anglaise, elle travaille comme libraire jeunesse lorsque sa carrière d’écrivaine décolle. L’autrice britannique Diana Wynne Jones (Le Château de Hurle, adapté par Miyazaki sous le titre Le Château ambulant), séduite par ses nouvelles, pousse son propre éditeur à la publier.

Un an plus tard, Megan Whalen Turner signe Le Voleur, un premier roman de fantasy centré sur un jeune voleur espiègle et manipulateur. Le livre reçoit la prestigieuse Médaille Newbery Honor – plus haute distinction américaine pour la littérature jeunesse – et devient un best-seller. À la surprise générale, l’autrice revient quelques années plus tard avec une suite, La Reine d’Attolie, qu’elle ne remet à son éditeur qu’une fois achevée. Ce deuxième tome, à la puissance narrative redoutable, bouleverse les attentes et laisse les lecteurs sous le choc.

Mais c’est véritablement en 2006, avec Le Roi d’Attolie, que Megan Whalen Turner dévoile l’ampleur de son projet : ces livres ne sont pas de simples suites, mais les volets d’une grande saga en six tomes, retraçant les conflits majeurs qui agitent les royaumes imaginaires de la Petite péninsule.

Suivrons Un complot de rois et Comme des voleurs, puis en 2020, elle conclut ce cycle entamé un quart de siècle plus tôt avec Le Retour du Voleur, salué par la critique et les lecteurs. Cette fresque aura marqué plusieurs générations – parmi lesquelles de nombreuses figures majeures de la fantasy contemporaine comme Leigh Bardugo, Holly Black, Laini Taylor ou Rebecca Ross.

Le Voleur de la Reine est une œuvre aux mille facettes, mêlant dialogues percutants, scènes intimes et souffle épique. Tissée d’aventures, d’intrigues de cour, de stratégies politiques et de mythes, elle est relevée d’un soupçon d’amours indomptables. Chaque tome adopte un point de vue différent – parfois peu fiable – invitant le lecteur à se laisser porter… ou à démêler le vrai du faux dans le récit tumultueux de royaumes au bord du chaos.

Autant nourrie par L’Histoire de la guerre du Péloponnèse de Thucydide ou L’Anabase de Xénophon que par les romans historiques de Rosemary Sutcliff, Megan Whalen Turner déploie, au fil de six volumes, une fresque fantasy d’une rare intelligence. On y suit un héros inattendu et des femmes de pouvoir – sortes de Catherine de Médicis ou d’Élisabeth Ier – dans un décor méridional, solaire et sauvage.

Elle a reçu un Newbery Honor et un Horn Book–Boston Globe Honor, et remporté le Los Angeles Times Book Award dans la catégorie littérature jeunesse ainsi que le Mythopoeic Award.

QUESTIONS FRÉQUENTES

Est-ce que la saga du Voleur de la Reine a déjà été publiée en France ?
Non, c’est la toute première fois que les six livres de Megan Whalen Turner vont être publiée en français.

Est-ce que cette saga est terminée et allez-vous tous les sortir ?
Oui, elle est terminée et les livres sont tous déjà traduits par nos soins. Les deux premiers vont sortir en octobre 2025, les deux suivants sortiront rapidement dès 2026. Une belle aventure de lecture dans les royaumes de la Petite péninsule se présente à vous sans avoir à attendre des années !

Faut-il les lire dans l’ordre?
Même si Megan Whalen Turner laisse le lecteur libre de commencer où il veut, nous trouvons préférable de les prendre dans l’ordre original de publication pour mieux apprécier la construction narrative élaborée et astucieuse de l’autrice. (Le VoleurLa Reine d’AttolieLe Roi d’AttolieUn complot de roisComme des voleursLe Retour du Voleur).

Est-ce que toute la saga est comme le premier livre ?
Non, Le Voleur est le tout premier roman de Megan Whalen Turner, et en tant que tel, si c’est le point de départ d’une immense aventure, c’est aussi un livre singulier, un adagio qui n’est que la mélodie de départ d’un arc dramatique qui va se déployer dans de nombreuses directions inattendues à un rythme toujours plus soutenu !

Les livres sont-ils indépendants?
Oui et non. Chaque livre présente une histoire avec ses personnages, une intrigue principale, qui sera résolu à la fin du livre. Mais ces aventures se connectent toutes entre elles pour narrer l’Histoire de la Petite péninsule, où un jeune voleur ne cesse de faire trembler les plus puissants.

Est-ce que ils se ressemblent?
Afin de mieux nous surprendre et de réellement déployer l’univers qu’elle a créé, Megan Whalen Turner a écrit chaque livre d’un point de vue différent, et c’est vraiment une réussite! Chaque roman possède sa propre identité. Mais Megan Whalen Turner réinvente sa recette à chaque nouveau tome. Les ingrédients fétiches de sa saga que sont l’aventure, l’intrigue, la stratégie, les amours impossibles, batailles ou mythes se présentent toujours dans un dosage inédit !

Est-ce qu’il y a de l’amour ?
Des amours impossibles ? Les passions et sentiments de tous ses personnages, bien que toujours abordé avec une forme de discrétion ou de pudeur absolument spécifique à cette autrice, sont, n’en douter pas une seconde, au centre des troubles qui vont faire vaciller les trois royaumes de la Petite Péninsule !

C’est quoi le prix de lancement ?
C’est notre façon de récompenser les premiers lecteurs de cette fantastique saga. Du 3 octobre au 30 novembre, les deux premiers livres sont à un prix réduits !

Est-ce que la saga du Voleur de la Reine a déjà été publiée en France ?
Non, c’est la toute première fois que les six livres de Megan Whalen Turner vont être publiée en français.

Est-ce que cette saga est terminée et allez-vous tous les sortir ?
Oui, elle est terminée et les livres sont tous déjà traduits par nos soins. Les deux premiers vont sortir en octobre 2025, les deux suivants sortiront rapidement dès 2026. Une belle aventure de lecture dans les royaumes de la Petite péninsule se présente à vous sans avoir à attendre des années !

Faut-il les lire dans l’ordre?
Même si Megan Whalen Turner laisse le lecteur libre de commencer où il veut, nous trouvons préférable de les prendre dans l’ordre original de publication pour mieux apprécier la construction narrative élaborée et astucieuse de l’autrice. (Le VoleurLa Reine d’AttolieLe Roi d’AttolieUn complot de roisComme des voleursLe Retour du Voleur).

Est-ce que toute la saga est comme le premier livre ?
Non, Le Voleur est le tout premier roman de Megan Whalen Turner, et en tant que tel, si c’est le point de départ d’une immense aventure, c’est aussi un livre singulier, un adagio qui n’est que la mélodie de départ d’un arc dramatique qui va se déployer dans de nombreuses directions inattendues à un rythme toujours plus soutenu !

Les livres sont-ils indépendants?
Oui et non. Chaque livre présente une histoire avec ses personnages, une intrigue principale, qui sera résolu à la fin du livre. Mais ces aventures se connectent toutes entre elles pour narrer l’Histoire de la Petite péninsule, où un jeune voleur ne cesse de faire trembler les plus puissants.

Est-ce que ils se ressemblent?
Afin de mieux nous surprendre et de réellement déployer l’univers qu’elle a créé, Megan Whalen Turner a écrit chaque livre d’un point de vue différent, et c’est vraiment une réussite! Chaque roman possède sa propre identité. Mais Megan Whalen Turner réinvente sa recette à chaque nouveau tome. Les ingrédients fétiches de sa saga que sont l’aventure, l’intrigue, la stratégie, les amours impossibles, batailles ou mythes se présentent toujours dans un dosage inédit !

Est-ce qu’il y a de l’amour ?
Des amours impossibles ? Les passions et sentiments de tous ses personnages, bien que toujours abordé avec une forme de discrétion ou de pudeur absolument spécifique à cette autrice, sont, n’en douter pas une seconde, au centre des troubles qui vont faire vaciller les trois royaumes de la Petite Péninsule !

C’est quoi le prix de lancement ?
C’est notre façon de récompenser les premiers lecteurs de cette fantastique saga. Du 3 octobre au 30 novembre, les deux premiers livres sont à un prix réduits !